"Tout ceux qui souffraient de quelque mal se précipitaient sur lui pour le toucher."
Après l'oecuménisme du sang, et l'oecuménisme de la sainteté, nous pouvons, comme nous le suggère l'évangile de ce jour, réfléchir à l'oecuménisme de la désaffection: la baisse vertigineuse de la pratique chrétienne, qui fait manquer, du moins aux catholiques les sacrements de la Vie. Pourquoi un phénomène si terrible et pourtant tellement banal à nos yeux? Parce que nous n'attendons plus de Jésus Christ les biens temporels. Mais pas davantage les biens éternels. Pourtant il est le Grand Prêtre qui ouvre le chemin du coeur même de Dieu. Et encore ne se contente-t-il pas de conduire jusqu'au ciel: il a participé son sacerdoce même à ceux qu'il ne rougit pas d'appeler ses frères. A nous d'être par lui, avec lui, et en lui, les prêtres, prophètes et rois dans ce monde, afin de l'appeler au salut.
Sur le site de la Confrérie du saint Rosaire, chapelet avec et pour les Malades, ceux qui les soignent, ceux qui les servent, ceux qui les visitent, et leurs famille:
Pour mémoire, sur le site du Catéchisme et intelligence de la foi:
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