vendredi 18 avril 2014

SEMAINE SAINTE



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  • La neuvaine à la Miséricorde divine

jeudi 10 avril 2014

Entretien du Jeudi avec les Hospitaliers

Aujourd'hui, cinquième et dernier entretien avec les Hospitaliers

SUR LA VALEUR SALVIFIQUE DE LA SOUFFRANCE
DANS LA VIE DE L'EGLISE ET DU MONDE (5/5)



Salvifici Doloris
SD 19 "Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné?" On peut dire que le Christ, par la profondeur divine de l'union filiale à son Père, perçoit d'une façon humainement inexprimable la souffrance qu'est la séparation,  le rejet du Père, la rupture avec Dieu. Mais c'est justement par cette souffrance qu'il opère la Rédemption et qu'il peut dire en expirant: "Tout est accompli". La souffrance humaine a atteint son sommet dans la passion du Christ. Et simultanément, elle a été liée à l'amour, à l'amour qui crée le bien, en le tirant même du mal, en le tirant au moyen de la souffrance. En opérant la Rédemption par la souffrance, le Christ a élevé en même temps la souffrance humaine jusqu'à lui donner valeur de Rédemption. Tout homme peut donc, dans sa souffrance, participer à la souffrance rédemptrice du Christ.

SD 20-22 L'éloquence de la Croix et de la mort est complétée, par l'éloquence de la Résurrection. L'homme trouve dans la Résurrection une lumière complètement nouvelle qui l'aide à se frayer un chemin à travers les ténèbres épaisses des humiliations, des doutes, du désespoir et de la persécution. La Résurrection a révélé cette gloire qui, dans la Croix du Christ, était complètement obscurcie par l'immensité de la souffrance. Si en effet la Croix a représenté aux yeux des hommes le dépouillement du Christ, elle a représenté en même temps aux yeux de Dieu son élévation. Sur la Croix, en accomplissant la volonté de son Père, il s'est réalisé en même temps lui-même. La souffrance est aussi un appel à manifester la grandeur morale de l'homme, sa maturité spirituelle: dans leurs souffrances à tous, est confirmée d'une manière particulière la haute dignité de l'homme.

SD 23 Le Christ meurt cloué sur la Croix. Mais si en même temps, dans cette faiblesse et cette impuissance humaine, s'accomplit son élévation, confirmée par la force de la résurrection, cela signifie que les faiblesses de toutes les souffrances humaines peuvent être pénétrées de la puissance de Dieu qui s'est manifestée dans la Croix du Christ. Souffrir signifie devenir particulièrement réceptif, particulièrement ouvert à l'action des forces salvifiques de Dieu offertes à l'humanité dans le Christ. Ce renouvellement d'énergie spirituelle de l'homme au milieu des épreuves et des tribulations est la vocation spéciale de ceux qui communient aux souffrances du Christ. Par la persévérance dans l'acceptation de ce qui dérange et fait mal, l'homme libère l'espérance, qui maintient en lui la conviction que la souffrance ne l'emportera pas sur lui: en ce sens de la vie, l'homme se retrouve alors qu'il est au fond même de la souffrance; il retrouve "l'âme" qu'il croyait avoir "perdue" à cause de la souffrance.

SD 24-25 L'ultime étape de l'itinéraire spirituel lié à la souffrance indique l'espace dans lequel les souffrances humaines complètent les souffrances du Christ. L'Eglise, qui puise sans cesse aux sources infinies de la Rédemption, est précisément la dimension dans laquelle la souffrance rédemptrice du Christ peut être constamment complétée par la souffrance de l'homme. Et c'est pourquoi aussi elle a une valeur spéciale aux yeux de l'Eglise. Elle est un bien, devant lequel l'Eglise s'incline avec vénération, dans toute la profondeur de sa foi en la Rédemption. A travers les siècles et les générations humaines, on a constaté que dans la souffrance se cache une force particulière qui rapproche intérieurement l'homme du Christ, une grâce spéciale: lorsque la personne humaine se trouve presque dans l'impossibilité de vivre et d'agir, la maturité intérieure et la grandeur spirituelle deviennent d'autant plus évidentes, et elles constituent une leçon émouvante pour les personnes qui jouissent d'une santé normale. C'est le Christ qui transforme, en un sens, la substance même de la vie spirituelle, en donnant à la personne qui souffre une place à côté de lui.

SD 26-27 Le Rédempteur crucifié -comme Maître et Guide intérieur- enseigne à ses frères et à ses sœurs qui souffrent, cet admirable échange situé au cœur même du mystère de la Rédemption. La souffrance, en soi, c'est éprouver le mal. Mais le Christ en a fait le fondement le plus solide du bien définitif, c'est-à-dire du bien du salut éternel. Le divin Rédempteur veut pénétrer l'âme de toute personne qui souffre par l'intermédiaire du cœur de sa très sainte Mère, prémices et sommet de tous les rachetés. La réponse qui vient ainsi dans cette participation, est par-dessus tout, un appel. Elle est une vocation. Le Christ n'explique pas abstraitement les raisons de la souffrance, mais avant tout il dit: "Suis-moi"! Viens! Prends part avec ta souffrance à cette œuvre de salut du monde qui s'accomplit par ma propre souffrance! Par ma Croix! Ce sens salvifique de la souffrance descend au niveau de l'homme et devient en quelque sorte sa réponse personnelle. C'est alors que l'homme trouve dans sa souffrance la paix intérieure et même la joie spirituelle. Non seulement il est utile aux autres, mais en outre, il accomplit un service irremplaçable: la médiation et la source des bienfaits indispensables au salut du monde. Cette souffrance, plus que tout autre chose, ouvre le chemin à la grâce qui transforme les âmes.

SD 27-31 Dans le combat "cosmique" entre les forces spirituelles du bien et celles du mal, les souffrances humaines, unies à la souffrance rédemptrice du Christ, constituent un soutien particulier pour les forces du bien, en ouvrant la route au triomphe de ces forces salvifiques. C'est pourquoi l'Eglise voit dans tous les frères et les sœurs souffrants du Christ comme un sujet multiple de sa force surnaturelle. Que de fois les pasteurs de l'Eglise ont recours à eux, précisément parce qu'ils cherchent près d'eux aide et soutien! Les sources de la force divine jaillissent vraiment au cœur de la faiblesse humaine. Ceux qui participent aux souffrances du Christ conservent dans leurs propres souffrances une parcelle tout à fait particulière du trésor infini de la Rédemption du monde, et ils peuvent partager ce trésor avec les autres.

Plus l'homme est menacé par le péché que le monde actuel porte en lui-même, et plus est éloquente la souffrance humaine en elle-même. Et plus aussi l'Eglise éprouve le besoin de recourir à la valeur des souffrances humaines pour le salut du monde. Car la souffrance s'y trouve également pour libérer dans l'homme ses capacités d'aimer, très précisément ce don désintéressé du propre "moi" au profit d'autrui, de ceux qui souffrent. Le monde de la souffrance humaine ne cesse d'appeler, pour ainsi dire, un monde autre: celui de l'amour humain; et cet amour désintéressé, qui s'éveille dans le cœur de l'homme et se manifeste dans ses actions, il le doit en un certain sens à la souffrance.

Tel est le sens, véritablement surnaturel et en même temps humain, de la souffrance. Surnaturel, parce qu'il s'enracine dans le divin mystère de la Rédemption du monde, et profondément humain, parce qu'en lui l'homme se reconnaît lui-même dans sa dignité et sa mission propre. "Par le Christ et dans le Christ s'éclaire l'énigme de la douleur et de la mort". 

dimanche 6 avril 2014

Congrès HNDA

4-6 avril 2014
Congrès de l'Hospitalité Notre Dame des Armées
Domaine Lyon Saint Joseph


DEUX SACREMENTS DE GUERISON

La maladie : question essentiellement spirituelle
et non pas d'abord problème technologique.


Maladie et péché / mort et résurrection / confession et guérison
Jn 9, 1...41
En sortant, Jésus vit sur son passage un homme qui était aveugle de naissance. Ses disciples l'interrogèrent : « Rabbi, pourquoi cet homme est-il né aveugle ? Est-ce lui qui a péché, ou bien ses parents ? » Jésus répondit : « Ni lui, ni ses parents. Mais l'action de Dieu devait se manifester en lui. Il nous faut réaliser l'action de celui qui m'a envoyé, pendant qu'il fait encore jour ; déjà la nuit approche, et personne ne pourra plus agir. Tant que je suis dans le monde, je suis la lumière du monde. » ..
.. Pour la seconde fois, les pharisiens convoquèrent l'homme qui avait été aveugle, et ils lui dirent : « Rends gloire à Dieu ! Nous savons, nous, que cet homme est un pécheur. » Il répondit: « Est-ce un pécheur ? Je n'en sais rien ; mais il y a une chose que je sais : j'étais aveugle, et maintenant je vois. » Ils lui dirent alors : « Comment a-t-il fait pour t'ouvrir les yeux ? » Il leur répondit : « Je vous l'ai déjà dit, et vous n'avez pas écouté. Pourquoi voulez-vous m'entendre encore une fois ? Serait-ce que vous aussi vous voulez devenir ses disciples ? » Ils se mirent à l'injurier : « C'est toi qui es son disciple ; nous, c'est de Moïse que nous sommes les disciples. Moïse, nous savons que Dieu lui a parlé ; quant à celui-là, nous ne savons pas d'où il est. » L'homme leur répondit : « Voilà bien ce qui est étonnant ! Vous ne savez pas d'où il est, et pourtant il m'a ouvert les yeux. Comme chacun sait, Dieu n'exauce pas les pécheurs, mais si quelqu'un l'honore et fait sa volonté, il l'exauce. Jamais encore on n'avait entendu dire qu'un homme ait ouvert les yeux à un aveugle de naissance. Si cet homme-là ne venait pas de Dieu, il ne pourrait rien faire. » Ils répliquèrent : « Tu es tout entier plongé dans le péché depuis ta naissance, et tu nous fais la leçon ? » Et ils le jetèrent dehors.
Jésus dit alors : « Je suis venu en ce monde pour une remise en question : pour que ceux qui ne voient pas puissent voir, et que ceux qui voient deviennent aveugles. » Des pharisiens qui se trouvaient avec lui entendirent ces paroles et lui dirent : « Serions-nous des aveugles, nous aussi ? » Jésus leur répondit: « Si vous étiez des aveugles, vous n'auriez pas de péché ; mais du moment que vous dites : « Nous voyons ! » votre péché demeure. »
Jn 11, 1...45
Un homme était tombé malade. C'était Lazare, de Béthanie, le village de Marie et de sa sœur Marthe. .. Donc, les deux sœurs envoyèrent dire à jésus : « Seigneur, celui que tu aimes est malade. » En apprenant cela, Jésus dit : « Cette maladie ne conduit pas à la mort, elle est pour la gloire de Dieu, afin que par elle le Fils de Dieu soit glorifié. » Jésus aimait Marthe et sa sœur, ainsi que Lazare. Quand il apprit que celui-ci était malade, il demeura pourtant deux jours à l'endroit où il se trouvait ; alors seulement il dit aux disciples : « Revenons en Judée. » Les disciples lui dirent : « Rabbi, tout récemment, les Juifs cherchaient à te lapider, et tu retournes là-bas ? » Jésus répondit : Ne fait-il pas jour pendant douze heures ? Celui qui marche pendant le jour ne trébuche pas, parce qu'il voit la lumière de ce monde ; mais celui qui marche pendant la nuit trébuche, parce que la lumière n'est pas en lui. » Après ces paroles, il ajouta : « Lazare, notre ami, s'est endormi ; mais je m'en vais le tirer de ce sommeil. » Les disciples lui dirent alors : « Seigneur, s'il s'est endormi, il sera sauvé. » Car ils pensaient que Jésus voulait parler du sommeil, tandis qu'il parlait de la mort. Alors il leur dit clairement : « Lazare est mort, et je me réjouis de n'avoir pas été là, à cause de vous, pour que vous croyiez. Mais allons auprès de lui ! » Thomas (dont le nom signifie : « Jumeau ») dit aux autres disciples : « Allons-y nous aussi, pour mourir avec lui ! »
Lorsque Marthe apprit l'arrivée de Jésus, elle partit à sa rencontre, tandis que Marie restait à la maison. Marthe dit à Jésus : « Seigneur, si tu avais été là, mon frère ne serait pas mort. Mais je sais que, maintenant encore, Dieu t'accordera tout ce que tu lui demanderas. » Jésus lui dit : « ton frère ressuscitera. » Marthe reprit : « Je sais qu'il ressuscitera au dernier jour, à la résurrection. » Jésus lui dit : « Moi, je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi, même s'il meurt, vivra ; et tout homme qui vit et qui croit en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela ? » Elle répondit: « Oui, Seigneur, tu es le Messie, je le crois ; tu es le Fils de Dieu, celui qui vient dans le monde. »..
.. Il demanda : « Où l'avez-vous déposé ? » Il lui répondirent : « Viens voir, Seigneur. » Alors Jésus pleura. Les Juifs se dirent : «Voyez comme il l'aimait ! » mais certains d'entre eux disaient : « Lui qui a ouvert les yeux de l'aveugle, ne pouvait-il pas empêcher Lazare de mourir ? »
Jésus repris par l'émotion, arriva au tombeau. C'était une grotte fermée par une pierre. Jésus dit : « Enlevez la pierre. » Marthe, la sœur du mort, lui dit : « Mais, Seigneur, il sent déjà ; voilà quatre jours qu'il est là. » Alors Jésus dit à Marthe : « Ne te l'ai-je pas dit ? Si tu crois, tu verras la gloire de Dieu. » On enleva donc la pierre. Alors Jésus leva les yeux au ciel et dit : « Père, je te rends grâce parce que tu m'as exaucé. Je savais bien, moi, que tu m'exauces toujours, mais si j'ai parlé, c'est pour cette foule qui est autour de moi, afin qu'ils croient que tu m'as envoyé. » Après cela, il cria d'une voix forte : « Lazare, viens dehors ! » Et le mort sortit, les pieds et les mains attachés, le visage enveloppé d'un suaire. Jésus leur dit : « Déliez-le, et laissez-le aller. »
Jc 5, 7-20
Frères, ne gémissez pas les uns contre les autres, ainsi vous ne serez pas jugés. Voyez : le Juge est à notre porte. … Frères, prenez pour modèles d'endurance et de patience les prophètes qui ont parlé au nom du Seigneur. Voyez : nous proclamons heureux ceux qui tiennent bon. Vous avez entendu dire comment Job a tenu bon, et vous avez vu ce qu'il la fin le Seigneur a fait pour lui, car le Seigneur est tendre et miséricordieux.
Et avant tout, mes frères, ne faites pas de serment : ne jurez ni par le ciel ni par la terre, ni d'aucune manière ; que votre « oui » soit un « oui », que votre « non » soit un « non », ainsi vous ne risquerez pas d'être condamnés. Si l'un de vous est dans la souffrance, qu'il prie ; si quelqu'un est dans la joie, qu'il chante le Seigneur. Si l'un de vous est malade, qu'il appelle ceux qui exercent dans l'Eglise la fonction d'Anciens : ils prieront sur lui après lui avoir fait une onction d'huile au nom du Seigneur. Cette prière inspirée par la foi sauvera le malade : le Seigneur le relèvera et, s'il a commis des péchés, il recevra le pardon. Reconnaissez vos péchés les uns devant les autres, et priez les uns pour les autres afin d'être guéris, car la supplication du juste agit avec beaucoup de puissance. Le prophète Elie n'était qu'un homme comme nous ; pourtant, lorsqu'il a prié avec insistance pour qu'il ne pleuve pas, il n'a pas plu pendant trois ans et demi ; puis il pria encore une fois, et le ciel donna la pluie, et la terre produisit sa récolte.
Mes frères, si l'un de vous s'égare loin de la vérité et si quelqu'un l'amène à se convertir, alors, sachez-le : celui qui ramène un pécheur du chemin où il s'égarait se sauvera lui-même et couvrira une multitude de péchés.

Le Missel Romain. Les prières de guérison
accorde à nos frères malades la force de lutter pour guérir : qu'ils découvrent dans leur épreuve combien tu peux être proche d'eux par des frères qui soutiennent leur courage, par l'espérance que tu leur donnes en Jésus Christ.
..exauce-nous quand nous t'implorons pour tes serviteurs éprouvés par la maladie : fais qu'ils retrouvent la santé et puissent te rendre grâce dans l’assemblée de tes fidèles.
Pour répondre à l'angoisse de ceux qui souffrent, tu as envoyé, Seigneur, ton propre Fils dans le monde, et il est devenu l'homme des douleurs ; entends notre prière et la plainte des malades, ne laisse pas le mal les détourner de toi ; montre-leur que la souffrance ne peut être vaine s'ils l'endurent dans la Passion du Christ, pour leur salut et celui de leurs frères.
Accueille, Seigneur, l'offrande et la prière que nous te présentons pour les malades : en s'unissant au Christ immolé pour les hommes, qu'ils reçoivent de croire que tu les aimes en lui ; qu'ils soient aux yeux des bien-portants les signes que l'Esprit travaille ce monde.
.. que cette eucharistie suscite parmi nous des frères qui les entourent de ta tendresse et les aident à guérir en soutenant leur patience.
... viens au secours de nos frères malades : qu'il retrouvent, s'il est possible, la santé et puissent rendre grâce avec toi en reprenant dans ton corps leur place parmi nous.
Congrégation pour la Doctrine de la Foi,
Instruction sur les prières pour obtenir de Dieu la guérison (14 sept 2000).
2 L'acceptation de la volonté de Dieu étant acquise, le désir du malade d'obtenir la guérison est une chose bonne et profondément humaine, surtout quand elle se traduit par la prière confiante adressée à Dieu. Plusieurs psaumes reviennent à une supplication pour la guérison.
Pendant la vie publique de Jésus, plusieurs malades se tournent vers lui,. .. les évangiles ne contiennent aucun exemple où ces prières soient blâmées. La seule fois où le Seigneur se plaint, c'est à propos d'un manque de foi éventuel: «Si tu peux! Tout est possible à celui qui croit»..
Non seulement la prière des fidèles qui demandent leur guérison ou celle d'un autre est louable, mais l'Eglise, dans sa liturgie, demande au Seigneur la santé des malades.
(…) Évidemment, le recours à la prière n'exclut pas, mais encourage à faire usage des moyens naturels utiles pour conserver et recouvrer la santé. Il incite les fils de l'Eglise à prendre soin des malades et à leur apporter soulagement dans le corps et dans l'esprit, en cherchant à vaincre la maladie.
4 Les Père de l'Eglise (…) Les rites liturgiques tant occidentaux qu'orientaux
5 L'histoire de l'Eglise n'a pas manqué de saints thaumaturges qui ont opéré des guérisons miraculeuses.
Les guérisons liées aux lieux de prière (…) par exemple à Lourdes, depuis plus d'un siècle.
(..) dans les assemblées de prière organisées pour demander à Dieu des guérisons, il serait arbitraire d'attribuer un «charisme de guérison» à une quelconque catégorie de participants, par exemple aux dirigeants du groupe; il ne reste plus qu'à se fier à la volonté souveraine de l'Esprit Saint qui donne à certains un charisme spécial de guérison pour manifester la force de la grâce du Ressuscité.

Ce qu'il reste à souffrir des épreuves du Christ (cf. Col 1, 24)
je l'accomplis dans ma propre chair pour son corps qui est l'Eglise :
la peine des malades et notre conversion ;
notre charité et leur guérison.
Ils ont l'Onction ; nous avons la Confession.

jeudi 3 avril 2014

Chapelet des Malades: mystères douloureux

Aujourd'hui, chapelet avec et pour les Malades à l'oratoire de l'HIA Desgenettes. En préparation du temps de la Passion sur lequel débouche le Carême Dimanche prochain, vous pouvez retrouver sur le site de la Confrérie du saint Rosaire, la méditation des Mystères douloureux: