mercredi 30 octobre 2013

"Je crois en Jésus Christ, qui est mort et a été enseveli."


Aujourd'hui, messe de funérailles à la chapelle. Des Anciens Enfants de Troupe, nous retenons la devise: pour la patrie, toujours présents. Pour ses frères aussi, en s'efforçant d'améliorer leur sort. Mais ce sens de cheminement dans l'existence achoppe: nous ne savons même pas où tu vas, comment pourrions-nous connaître le chemin? Jésus est lui-même le chemin. En ces dernières semaines de l'Année de la Foi, peut-être faut-il retrouver la simplicité de la foi. Lorsque l'Apôtre nous dit "ils se sont endormis": croyons-nous tout simplement qu'ils dorment? C'est pourquoi ils ne nous parlent plus, et il faut juste ne pas les réveiller, en attendant que le Seigneur nous réunisse, en nous éveillant lui-même à la vraie vie. Depuis l'Antiquité, le mot cimetière indique "le dortoir": aurons-nous la simplicité et la confiance des Premiers Chrétiens, si nous utilisons encore les mêmes mots qu'eux?


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